« Sauvons les salles de cinéma au Maroc » ! C’est le défi que dans lequel s’est lancée l’association du même nom. Créée depuis 2007, elle s’active à la sauvegarde et à la pérennité des salles de cinéma au Maroc – ou plutôt ce qui en reste de nos jours. C’est justement dans ce sens qu’un appel a été lancé par ladite association pour « un soutien à la rénovation » du cinéma Eden, situé en plein cœur de la médina de Marrakech.
Taha Adnan est un poète marocain résidant à Bruxelles. Arrivé en Belgique en 1996 pour continuer ses études supérieures, il se tourne vers la poésie, et spécialement celle centrée sur l’exil. Dans le cadre du festival transsaharien de Zagora, le poète était présent pour intervenir sur le thème de cette sixième édition, le cinéma des migrants.
C'est un coup qui fait très mal à notre chouchou national. Ce n'est pas la Palme d'or que Gad El Maleh a reçu il y a quelques jours, mais le Gérard de la feignasse. Les Gérard sont des prix satiriques qui récompensent le pire du cinéma français et qui sont remis à des acteurs ou des réalisateurs français chaque année. Gad Elmaleh a été distingué par ce prix car Coco, le tout premier film qu'il a réalisé et écrit, « recycle un de ses vieux sketches en film d'une heure et demie
Le Maroc avec une industrie cinématographique en plein essor est présent avec plusieurs films, au 21ème Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco). La capitale du Burkina Faso accueille le cinéma africain du 28 février au 7 mars.
C'est aujourd'hui que débute la huitième édition du Festival International du Film de Marrakech (FIFM). Il sera officiellement inauguré par « What Just Happened », un film de l'américain Barry Levinson qui n'est autre que le Président du Jury de cette année. Barry Levinson est un réalisateur de renom qui a remporté quatre oscars au cours de sa carrière. Il a dirigé les plus grands acteurs du monde tels que Robert de Niro, Robert Redford ou encore Tom Cruise.
Le long métrage "Les coœurs brûlés" du réalisateur Ahmed El Maanouni a été présenté au Festival du cinéma arabe de San Francisco., qui s'est déroulé du 16 au 28 octobre, rapporte la MAP.
Un paradoxe comme il en existe certes beaucoup au Royaume enchanté : Le 7ème art national connait un engouement sans précédent, tandis que l'industrie du cinéma tarde à décoller, faute de ressources humaines et techniques.
Le cinéma national a décidé de se faire un nom, et il semble en bon chemin. La promotion cinématographique nationale, à l'égard des marocains mais aussi dans une dimension internationale, commence à être connue et reconnue.
Le réalisateur marocain, Latif Lahlou a demandé à la direction du Festival international du cinéma d'Alexandrie de retirer son film « Les jardins de Samira » de la compétition officielle à cause « des comportements inconvenables » des organisateurs à l'encontre du cinéma marocain.
Longtemps boudé et critiqué le cinéma marocain regagne depuis quelques années confiance et renoue avec le public. Une présence dans les plus grands festivals en l’occurrence Cannes, San Sebastian ou Marrakech et des cinéastes reconnus à travers le monde. En évoquant le cinéma marocain, on ne peut s’empêcher d’évoquer des noms qui ont marqué à travers leurs signatures, l’histoire cinématographique marocaine et continuent à satisfaire leur public au moment où