Dans son avis, le Conseil de la concurrence a pointé «la persistance de pratiques frauduleuses constituant des entraves au fonctionnement concurrentiel du marché» des soins médicaux dispensés par les cliniques privées et les établissements assimilés. Il cite notamment les paiements «au noir», l'exigence des chèques de garantie ainsi que les accords de captation de la clientèle/patientèle.