Est-ce que la jeunesse marocaine est heureuse ? A en croire un nouvel indice mesurant le bien-être des jeunes à l'échelle mondiale, pas tant que ça. Sur 30 pays évalués, le Maroc occupe la 20e position dans le classement établi par le Centre d'études stratégiques et internationales et la Fondation internationale pour la jeunesse avec le soutien de Hilton Worldwide. Explications.
Soufiane Sbiti, vice-président de CAPDEMA, s’exprime en son nom au sujet du troisième anniversaire du mouvement du 20 février et des leçons à en tirer.
Cap Démocratie Maroc, une association défendant la démocratie, l’Etat de droit et les droits de l’Homme, appelle les jeunes marocains à aller s’inscrire sur les listes électorales. Il sera possible de le faire jusqu'au 31 décembre 2013.
Soufiane Sbiti, vice-président de CAPDEMA, s’exprime en son nom au sujet de la récente proposition de leur association mais aussi d’une nouvelle forme de militantisme qu’il va falloir faire évoluer.
Abdelilah Benkirane, Salaheddine Mezouar et Hamid Chabat se sont éclipsés de la Une de l’actualité nationale, cédant la place à Driss Lachgar. Le premier secrétaire de l’USFP a fait face, à Tétouan et à Fès, respectivement le vendredi et le samedi, à des jeunes opposants qui l’ont privé, pendant des heures, de parole lors de meetings politiques.
Bien qu’on ne puisse retirer leurs parts de responsabilités dans les incidents du "jeudi noir de Casablanca" suite au match de foot Raja versus FAR, il est essentiel de rappeler que ces jeunes supporters sont les premières victimes d’un système d’enseignement totalement défaillant, tant sur le plan académique que morale.
A l’approche des examens du baccalauréat, les élèves marocains concernés pensent plus que jamais au chemin que prendra désormais leur avenir. Yamna Joe s’en préoccupe aussi. La blogueuse marocaine se penche cette fois sur les failles du système éducatif marocain, trop injuste à ses yeux envers les étudiants les plus démunis du pays qui, une fois leur diplôme en poche, se retrouvent face à des
Une photo qui illustre de jeunes Marocains a suscité l'engouement de la presse néerlandaise. On y voit des adolescents aux airs effacés, d'autres se couvrant le visage. Un chercheur démontre que cette représentation a en fait servi des médias néerlandais à illustrer des articles concernant les questions migratoires. Dans cette analyse, il démontre comment une réinterprétation iconique peut engendrer des heurts dans la