Des ventes de biens immobiliers hérités par des filles et leur parentèle très étendue d’héritiers d’ascendance masculine, sont encore réalisées de nos jours. Les bénéfices réalisés par la vente ne montent généralement pas très haut, puisque souvent les héritiers n’ont comme quote-part qu’une somme dérisoire. Les lointains «héritiers»
A l'occasion de la commémoration des 50 ans de la disparition de Mehdi Ben Barka, l'avocat Omar Benjelloun a publié une tribune dans le mensuel Le Monde diplomatique "Ben Barka, un mort à la vie longue". Nous revenons avec lui sur le symbole de la disparition du leader tiers-mondiste pour le Maroc, la gauche, et la nouvelle génération de Marocains. Interview.
Une nouvelle confrontation entre conservateurs et modernistes se profile au Maroc. Les protagonistes sont deux organismes officiels rattachés directement au roi Mohammed VI. Le Conseil supérieur des oulémas prépare sa répliquer aux recommandations du Conseil national des droits de l'Homme, notamment sur la question de l’héritage.
Une femme vivant à Kénitra a été traduite en justice pour avoir voulu hériter d’un mort avec qui elle se serait fiancée. C’est lors de l’enterrement du défunt qu’elle s’est présentée en habit de deuil comme étant sa veuve.
Une sexagénaire a été séquestrée et torturée par son frère pendant 30 ans près de la ville d'Essaouira, au Maroc. Détails.
La réforme des règles de succession au Maroc est une revendication de beaucoup d’association et notamment de celles œuvrant pour l’égalité homme-femme. Deux membres de l’association Autre Maroc, Salma Hargal et Montassir Sakhi, souhaite contribuer au débat via cette tribune.
L’USFP courtise les femmes. Son chef, Driss Lachgar, vient d’appeler à une interdiction de la polygamie au Maroc et à une révision des règles de l’héritage. Une position qui devrait lui valoir une volée de bois vert de la part des milieux conservateurs.