La marginalisation du CFCM, pourtant représentant officiel du culte musulman en France, a fait sortir de ses gonds son president, Mohammed Moussaoui.
Alors que le PSU a annoncé, cette semaine, sa décision de faire cavalier seul lors des prochaines élections prévues en septembre, le CNI et le PADS s’accrochent au projet de la FGD, en se déclarant ouverts sur les autres composantes de la gauche marocaine.
Reçus lundi par le président français Emmanuel Macron, les représentants des fédérations au sein du Conseil français du culte musulman (CFCM) signataires d’une Charte des principes s’engagent à une réforme du champ religieux dans l’Hexagone. Anouar Kbibech y soutient le projet d’harmoniser les valeurs de l’islam avec celles de la république.