Pour l’heure, le parquet belge n’a pas souhaité ni infirmer ni confirmer avoir demandé à la justice française de procéder à l’interpellation de Marocains, supposés impliqués dans l’affaire de corruption au Parlement européen.
Au Maroc, les accusations visant la France comme étant l’instigatrice de la résolution du Parlement européen du 19 janvier, se renforcent par les déclarations de Lahcen Haddad, président de la Commission parlementaire mixte Maroc-Union européenne.