L’affaire opposant les entreprises espagnoles Formaroc et Torreblanca, au groupe immobilier marocain Addoha, n’est pas prête de toucher à sa fin. L’Association des personnes affectées par l’extorsion au Maroc vient de faire appel au Parlement européen pour tenter de trouver une issue au conflit.
Mauvaise publicité pour le promoteur immobilier marocain, Addoha. Deux entreprises espagnoles, Formaroc et Torreblanca, l’accusent en effet d’extorsions pour un montant de pertes avoisinant les huit millions d’euros. L’AAEM, l’association chargée de prendre la défense des entreprises espagnoles victimes d’extorsions au Maroc, monte au créneau et appelle à l’ouverture d’un «dialogue amical» avec le