Une semaine après sa publication, le rapport de la cour des comptes 2010 est toujours d’actualité. Les irrégularités commencent à céder la place aux initiatives du ministre de la Justice. Apparemment, ce dernier n’entend pas suivre l’exemple de son prédécesseur, Mohamed Naciri. Du moins sur la forme, le PJDiste «innove». Quant au fond, là c’est une autre paire de manche.
Le rapport de la Cour des comptes 2010 n’est guère tendre avec les partis politiques. Souvent, grands chantres de la transparence lors des meetings et sur les plateaux des télés ou lors de conférences, nos structures partisanes se sont révélées être de parfaits adeptes de deux poids, deux mesures.
Le rapport de la cour des comptes vient de tomber. La balle est, désormais, dans le camp de Abdelilah Benkirane. Osera-t-il engager des poursuites judiciaires contre les mauvais gestionnaires des entreprises publiques épinglées par l’institution que préside Ahmed Midaoui ? C’est là question qui taraude bien d’esprits.
Une conférence sur la problématique de la gouvernance au Maroc à travers des cas précis a eu lieu à Rabat le 07 mars 2012 à l'initiative de l’Instance nationale pour la protection des biens publics, de l’Association des télé-communicants marocains et de l’Association marocaine de lutte contre la corruption.
Du nouveau dans le différend opposant Air Sénégal international (ASI) à Royal air Maroc (RAM). La compagnie nationale a en effet décidé selon une source anonyme citée par le journal de la finance africaine, « Les Afriques », de se retirer du capital de sa filiale ASI dont elle détient 51%.