La croissance de l'économie marocaine devrait s'accélérer en 2017 pour atteindre 4,4%. C'est ce qu'a estimé jeudi Nicolas Blancher, chef de la mission de consultation du Fonds monétaire international (FMI) au Maroc lors d'une conférence de presse. Compte-rendu.
Le crédit aux entreprises est en baisse, alors même que les banques ont des liquidités en abondance. L’augmentation du risque d’impayés avec la crise immobilière et l’augmentation des défaillances d’entreprises expliquent en partie cette situation paradoxale.
Un «sommet très business», un «partenariat exemplaire», un «gros coup d'accélérateur» - la rencontre de haut niveau entre le Maroc et la France qui s'est tenue vendredi dernier à Paris a fait parler d'elle en termes élogieux. Mais cet élan trans-méditerranéen, axé notamment sur les grands projets de développement marocains, pourrait perdre son soiuffle au vu des performances
Les tensions que vit le marché des liquidités va-t-il se traduire par une augmentation du taux bancaires ? Selon certains spécialistes en matière de finances, le risque d’augmentation des taux d’emprunts est à la fois inéluctable et il pourrait intervenir sur le court terme.