Dans un rapport fraichement publié, l’agence de notation financière internationale Fitch Ratings revient sur les notes attribuées au Maroc et à la Tunisie depuis le printemps arabe et explique les divergences d’évolutions. Détails.
Liquidité insuffisante, transactions boursières en chute libre, ... La performance financière du Maroc est actuellement dans le collimateur des évaluateurs internationaux qui menacent de dégrader le royaume de l'indice des marché émergents à celui des marchés de frontière. Une décision qui ferait fuir de nombreux investisseurs, mais les autorités chérifiennes relativisent.
C’est le quotidien français Les Echos qui s’est prêté à l’exercice en comparant les économies marocaine et tunisienne. Conclusion : en matière de croissance, le Maroc a l’avantage sur la Tunisie.
Alors que Standard and Poor’s a maintenu inchangée la note du secteur bancaire marocain, voici que Moody’s dégrade la note de deux banques nationales. Et cela ne fera certainement pas la joie des autorités.
Après la mise sous surveillance négative de la dette souveraine du Maroc, Standard and Poor’s vient d’annoncer qu’elle maintient inchangée la note du secteur bancaire marocain et abaisse sa note des risques de l’économie et de l’industrie. Le gouverneur de Bank Al Maghrib, Abdellatif Jouahri, n’est pas d’accord et pense que la note aurait dû être augmentée