Après avoir crié leur détresse à chaque cas révélé, après avoir manifesté pour réclamer justice, après l’exécution d’un jugement en faveur d’un spoliateur emprisonné… les victimes de spoliation ont trouvé une oreille attentive au sein du parti au pouvoir. Un parlementaire PJD est venu à leur rencontre, reconnaissant la lenteur avec laquelle le problème de la
Et ça n’en finit pas ! Alors qu’elle manifestait encore dimanche dernier pour réclamer justice, une mère de famille a été expulsée mercredi, sans préavis, de la villa où elle habitait depuis plus de 30 ans à Casablanca. Cependant, le prétendu propriétaire de la maison, n’est autre que Mustapha Him, actuellement en prison pour spoliation. Son fils aurait été présent lors
Depuis plus de 35 ans, Habiba dit vivre dans la villa achetée par son défunt époux en 1973 près de la corniche de Casablanca. La vie y a été paisible jusqu’à il y 10 ans, lorsqu’elle reçoit un avis d’expulsion affirmant qu’elle occuperait illégalement la maison d’une étrangère. Alors qu’elle a remporté un premier procès en 2008, un jugement rendu en 2015 et
Face aux sévices permanents de la spoliation immobilière, une association des victimes a manifesté hier, dimanche, devant le Palais de justice de Casablanca. Elle réclame la suspension des jugements civils actuellement visés par une enquête du procureur du roi suite aux plaintes des victimes.
La spoliation des biens immobiliers a fait l’objet d’une réunion au ministère de la Justice. A l’issue de celle-ci une feuille de route a été adoptée pour tenter d’endiguer le phénomène.
Une MRE se bat depuis trois ans pour récupérer son appartement à Casablanca des mains d'un Franco-turc qu'elle accuse de l'avoir spoliée. L’affaire désormais jugée au pénal, son avocat estime le dossier sur la bonne voie.
Lors de l’été 2014, les ministères de l’Intérieur et des Finances avaient lancé sur ordre du roi une enquête sur un scandale immobilier. Celui-ci touchait des MRE à Al Hoceima et impliquait la CDG et sa filiale la CGI (Compagnie générale immobilière. Aujourd’hui, une enquête ouverte encore une fois sur instructions de Mohammed VI, se serait conclue sur l’implication du wali de la région
Face à la montée de la spoliation immobilière et «l’impunité» régnante dans le milieu de la justice, les victimes françaises et MRE ne savent plus quoi faire. En ce mois de purification des péchés qu’est le mois de ramadan, l’Association pour le Droit et la Justice au Maroc (ADJM) qui accompagne lesdites victimes depuis plus de six ans sollicite l’intervention du roi Mohammed VI pour le respect des
L’affaire est tout aussi rocambolesque que les multiples cas de spoliations immobilières qui ont défrayé la chronique ces dernières années au Maroc. Plusieurs membres d’une famille européenne, se sont fait spolier leur héritage à Casablanca, constitué de 12 titres fonciers ainsi que des meubles et avoir bancaires. Ils bataillent depuis 65 ans pour obtenir gain de cause. Un avocat ancien juge à la Cour
Nouvel épisode dans l’affaire de la villa voisine à celle du roi à Casablanca. Alors que la maison avait été liquidée lors d’une première vente, il y a moins de deux mois, une surenchère a tout annulé. Depuis, plusieurs péripéties mènent le dossier vers un dénouement heureux en faveur du propriétaire légitime. Détails.