Il y a huit ans, une trentaine de personnes, des Marocains expatriée, vivant au Maroc et des étrangers, ont avancé des milliers de dirhams dans le cadre du projet Sekkala dans la ville nouvelle de Tamesna. Non seulement leurs appartements n’ont jamais vu le jour, mais l’entrepreneur chargé de l’ouvrage s’est retiré du pays, laissant ses clients sans livrable ni indemnisation.
Si l’histoire n’a cessé de mettre en évidence la présence croissante, au fil des siècles, des Nord-Africains en péninsule ibérique, depuis l’antiquité, deux nouvelles études en rapportent la preuve, grâce à des analyses ADN effectuées sur des squelettes découvertes dans cette région de l’Europe.