Le Polisario s’est saisi de la controverse sur les vacances de Pedro Sánchez au Maroc, en reprochant au président du gouvernement espagnol par intérim des «liens douteux» avec Rabat. Dans le contexte post-électoral en Espagne, l’extrême gauche a aussi récupéré le sujet, dans une alliance de circonstances avec la droite. En résonnance, le séjour fait couler de l’encre en Algérie.
Dès le lendemain de la publication d’images du président du gouvernement espagnol par intérim, Pedro Sánchez, sur la Place Jemaâ El Fna à Marrakech lors d’un séjour estival privé au Maroc, les formations de droite se sont enflammées. Espérant passer de l’opposition à l’exécutif après les législatives anticipées, le PP a ouvert le bal, avant d’être