Alors que le Maroc demande son départ, que l'Espagne critique son travail, Christopher Ross, envoyé spécial de l'ONU pour le Sahara, a reçu, hier, le soutien de Ban Ki-moon par la voix de l'un de ses porte paroles.
Après un mois et demi de l’annonce du retrait du Maroc de sa confiance en Ross, rien à signaler. Ban Ki-moon soutient fermement son envoyé personnel au Sahara et la réunion Clinton-El Otmani n’a pas encore lieu. Ce revers de la diplomatie s’accompagne par l'exclusion de Rabat de la réunion de Genève, 30 juin, consacrée à la Syrie.