Le Chef du gouvernement est actuellement sous pression, car les syndicats n’ont pas oublié les promesses de campagne concernant le salaire minimum. A huit clos, Abdelilah Benkirane aurait demandé à la CGEM de concéder à une augmentation de 10% du Smig, mais le patronat s’y oppose. Les Syndicats quant à eux maintiennent la pression, rappelant que leurs voies ont été décisives pour l’élection du PJD en 2011.
Visiblement, le bureau fédéral est resté de marbre face aux nombreuses demandes et prières de Rachid Taoussi qui éspérait prolonger son bail avec les Lions de l’Atlas, pour «servir son pays», comme il se plaisait à dire à la presse. Il laisse derrière lui un bilan désastreux. Rappel des faits.
La fédération royale marocaine d’athlétisme (FRMA) vient de démentir les allégations d’Abdalaâti Iguider faisant état de la non prise en charge des potentialités marocaines avant les championnats du monde de Moscou. Elle estime que ces déclarations «infondées» sont émises pour induire l’opinion publique nationale en erreur.
La défaite face au Mozambique sonnera-t-elle le glas pour Eric Gerets à la tête de l’équipe nationale de football ? Rien n'est moins sûr. Dans tous les cas, elle tombe au mauvais moment pour la fédération de Ali Fassi Fihri qui n’a nullement besoin d’une pareille chute face à une équipe occupant la 108ième place, selon lederneir classement de la FIFA.
Les cinq prochains mois, s’annoncent chargés pour le ministère des Sports. Après les scandales de dopages des athlètes marocains aux JO de Londres, Mohammed Ouzzine, ministre de la Jeunesse et des Sports, vient de tracer sa feuille de route pour la période post-JO.
Même si le Maroc n'est pas directement affecté par la crise mondiale, certains craignent tout de même qu'il en pâtisse, surtout dans le secteur touristique.
A cette question beaucoup répondent généralement : ‘’Cest parce que le football est makhzénisé, le Général Benslimane et sa clique en ont fait une chasse gardée et ne font rien pour son épanouissement ; donc la faute est aux sécuritaires et… à Hassan II’’, etc. Ces genres de réponses, on en rencontre constamment. Dans la presse nationale surtout. Au point de devenir un lieu commun. Et si l’on sortait des sentiers battus pour situer les responsabilités des uns et des
Les pharaons ont remporté l’une des plus belles coupes d’Afrique. En effet nous avons eu du spectacle, des buts et de l’émotion. Pour nous marocains on retiendra surtout la débâcle de l’équipe nationale, une des plus sévères à travers l’histoire footballistique du Maroc. Au début des années 80, la déroute face à l’Algérie à Casablanca avait secoué le football marocain. L’électrochoc a donné naissance à la plus belle équipe que le Maroc ait connu, il s’agit