Le secteur marocain de l'automobile pourrait prendre de nouvelles couleurs dans les trois prochaines années avec l'arrivée d'un nouveau contructeur automobile. Après le Français Renault, ce ne serait pas un Européen, mais plutôt, un asiatique. Rabat a lancé en force son opération courant mois de juin et semble être sur des pistes sérieuses.
Une nouvelle grève menace l’une des trois usines du constructeur automobile Dacia en Roumanie. Ainsi, pour dissuader les ouvriers de ne pas se mettre en grève, la direction les a menacés de délocaliser une partie de sa production au Maroc, où les salaires sont moins élevés de moitié.
Les Rbatis ont certainement pu apercevoir l’une des ses voitures insolites, sillonnant les artères de leur ville. Hamad ben Hamdane Al Nahyane, un milliardaire émirati, passionné d’automobile, est aujourd’hui installé au Maroc où il entretient une partie de l’une des plus grandes et improbables collections de voitures au monde.
Le Maroc constituerait-il une aubaine pour les constructeurs automobiles ? Après l’implantation de l’usine Renault en début d’année dans la zone franche de Tanger, le Maroc se prépare à l’arrivée d’un «deuxième grand constructeur automobile». Les noms de Volkswagen et de Hyundai circulent.
Ca va décoiffer dès demain dans la ville ocre avec le Marrakech Grand Prix. Un grand évènement pour les Marocains puisqu'un seul et unique pilote marocain Mehdi Bennani va affronter les plus grands champions du monde. Pourquoi n'y-a-t-il pas plus de pilotes champions marocains ? Eléments de réponse.
La construction du complexe industriel sis à Tanger engagée depuis 2008 est à présent terminée. Les activités commencent donc tout doucement pour l’usine Renault avec la production des premiers prototypes de monospaces compacts. 90 000 véhicules baptisés «Lodgy» seront fabriqués courant janvier prochain. Quant à leur commercialisation principalement à l’étranger, il faudra attendre avril
Leader du marché automobile marocain, le constructeur français Renault se présente aussi comme l’une des principales locomotives du développement économique de la région du Nord. Son projet d’usine de Tanger a en effet boosté l’activité dans la cité du Détroit, et les villes aux alentours.
La caisse de compensation croule sous le poids des hydrocarbures : 5 milliards de dirhams d'arriérés pour les subventions aux produits pétroliers dès fin septembre. Les automobilistes profitent de ces subventions, mais elle coutent cher, nuisent à l'environnement, et sont en partie injustes. Voici quelques propositions pour ouvrir le débat.
Les représentants d’une dizaine d’entreprises espagnoles du secteur de l'automobile, effectuent actuellement une mission de prospection au Maroc. Objectif, explorer les opportunités d'investissement et d'affaires au Maroc dans ce secteur, notamment dans la zone franche de Tanger, qui doit accueillir prochainement, l’usine d’assemblage de Renault.