Après l'ONU, l'Algérie aurait tenté d'entraver l'adoption d'une déclaration du Comité ministériel arabe chargé de l'action internationale contre les politiques et procédures israéliennes illégales dans la ville occupée d’Al Qods. Derrière la mobilisation d’Alger, une référence au Comité Al-Qods et au rôle du roi Mohammed VI.
A New York, une réunion des ambassadeurs arabes accrédités auprès de l’ONU censée examiner les violations israéliennes à Al Qods n’a pas échappé aux traditionnelles passes d’armes entre le Maroc et l’Algérie.