Il faut de l’amour pour faire de la médecine, soulager les maux, absorber le stress des patients et enfin les guérir. Comme il faut de la compétence et des encouragements salariaux, comme la rémunération des gardes d’une part et des sanctions pour fautes ou non-assistance à personne en danger d’autre part, afin de créer un climat de justice aussi bien pour les soignants que pour les soignés.
Des sénateurs plaident pour que les ministres des cultes reçoivent une formation qualifiante pour pouvoir exercer. Même si l’islam est cité à plusieurs reprises, ils assurent englober toutes les religions, ainsi que les sectes.
Entre Rabat et Casablanca, nombre de centres d’appels recourent à des entreprises intermédiaires, faisant office de centres de formation et/ou de recrutement. Elles font payer les candidats, persuadés d’avoir un job au bout. Témoignages.
Il y a quelques mois, j’ai eu une conversation avec Fatima Barkaoui, sage-femme responsable de la formation à l’hôpital mère enfant à Meknès et dans toute la province. En plus de gérer un nombre considérable de patientes, elle doit les accompagner lorsqu’un report leur est annoncé.
Depuis une semaine, la polémique enfle. Le Groupe d’action national pour le soutien à la Palestine et l’Observatoire marocain contre la normalisation ont révélé l’existence d’un institut israélien de formation sécuritaire au Maroc, faisant ainsi réagir la justice.
«Soigner la santé reproductive, c’est s’occuper de la société toute entière et participer grandement à la construction de la paix sociale, si nécessaire à notre pays.»
Le Maroc est signataire, depuis 1995, de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction.