Les représentants d’une dizaine d’entreprises espagnoles du secteur de l'automobile, effectuent actuellement une mission de prospection au Maroc. Objectif, explorer les opportunités d'investissement et d'affaires au Maroc dans ce secteur, notamment dans la zone franche de Tanger, qui doit accueillir prochainement, l’usine d’assemblage de Renault.
Des installations titanesques, une production colossale, telles seront les grandes caractéristiques de la future usine du constructeur français Renault, à Tanger, dans le nord du Maroc. Mais la principale innovation sera incontestablement le caractère écologique de ce site.
Modèles prévus, nombre d'employés, marchés visés: A deux ans de l'inauguration, les plans de Renault pour son usine en construction à Tanger-Med se concrétisent. La création de 6000 emplois et la construction notamment d'une Kangoo version low-cost font partie de ces plans.
Déjà implanté à Casablanca où il assemble quelques 70 000 véhicules par an, le constructeur automobile français Renault entend maintenant «muscler ses moyens de production au Maroc», comme le rapporte le quotidien «Les Echos». La firme française ambitionne désormais d’atteindre les 400 000 véhicules par an.
Le groupe financier Marocain la CDG (Caisse de Dépôt et de Gestion) vient de conclure un accord avec le constructeur automobile Français Renault relatif à une prise de participation de Fipar-Holding, filiale de la CDG, dans le capital de "Renault Tanger-Méditerranée", à hauteur de 47,6%.
L'usine Renault en construction à Tanger produira ses premières voitures en janvier 2012, a affirmé lundi 15 juin à l'AFP, le président de Renault Carlos Ghosn, en visite au Maroc, qui a voulu « démentir les rumeurs » sur une éventuelle remise en cause du projet.
Le ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies, Ahmed Réda Chami, a présidé, mercredi à Casablanca, la cérémonie de lancement du nouveau modèle de la marque automobile Dacia Sandero, du groupe Renault selon la MAP.
Le constructeur automobile japonais Nissan a annoncé ce lundi la suspension de sa participation au projet d'usine commune avec son allié français Renault à Tanger, dans le nord du Maroc. La décision de Nissan est liée à un plan rigoureux visant à surmonter la crise mondiale actuelle.
Le projet d'usine Renault à Tanger n'a pas fini de générer des remous chez le voisin algérien. C'est pourtant le patron de Renault Algérie, Stéphane Galoustian, qui le dit lui-même : Le Maroc est en avance sur son voisin dans le volet des équipements automobiles. L'Algérie, qui ne peut s'empêcher de prêcher le nationalisme à tout va et souvent sans bon sens, voit cette décision d'un très mauvais œil.
Au lendemain de la signature du protocole d’intention signé entre le Roi Mohammed VI et Carlos Ghosn, PDG du groupe Renault-Nissan, le 1er septembre 2007, la région de Tanger se voit renforcer dans son «rôle» de pôle industriel du Royaume. Il s'agira de l’implantation «d’un des plus importants sites industriels d’Afrique», selon les termes d’Ahmed Chami, ministre du Commerce et de l’Industrie à Tanger.