Après les 228.000 dh gaspillés annuellement chez le fleuriste du coin, samedi nous révélions l’affaire Génériques, du nom de cette association française qui avait bénéficié, en 2009, d’une subvention du CCME d’un montant de 100.000 euros. Sommes-nous en face d’un cas de conflit d’intérêt ? Sachant que Driss El Yazami a une double casquette, il est à la fois le
Rien ne va plus au Conseil de la communauté marocaine à l’étranger (CCME) et Abdou Menebhi, un des membres nommés par le roi, ne veut plus cautionner la dérive de cette institution. Dans un souci de précision suite à notre article évoquant une interview avec Radio Netherlands, il nous a adressé les clarifications dans un courriel que nous publions dans son intégralité. Ce qu’il faut retenir c’est la
La transparence n’est pas le point fort d’une institution publique comme le CCME. Nous avions déjà essuyé des insultes lors de la préparation d’un article au sujet d’un email qui aurait été envoyé par Driss Ajbali, prétendu directeur du CCME, et qui faisait mention d’une caisse noire. Bien qu’une enquête ait été diligentée, rien n’a filtré sur les résultats
Abdou Menebhi est un militant associatif marocain aux Pays-Bas. En décembre 2007, il a été nommé par le Roi, membre du Conseil de la Communauté Marocaine à l’Etranger. Et c’est avec les deux casquettes qu’il nous a contacté pour s’indigner de la récente offensive médiatique de Driss Ajabli, Directeur du CCME à l’encontre des acteurs de la diaspora. Entretien.