Le Maroc est un pays à "régime hybride". C'est ce qui ressort du classement 2015 de l'indice de la démocratie publié par The Economist Intelligence Unit dans lequel le royaume se retrouve au 107ème rang mondial. Un mauvais classement qui le place devant beaucoup de pays de la zone MENA, considérée comme la région la plus répressive du monde. Détails.
“We are all Greeks – our laws, our literature, our religion, our arts, have root in Greece”, nous affirme Shelley dans sa préface de Hellas au moment où l’Europe avait le devoir de défendre leurs «ancêtres» culturels grecs contre les Turcs musulmans. Shelley qui, il faut le reconnaître, dénonce à la fois la coalition des Etats européens et la tyrannie des Turcs et défend les Grecs comme peuple
L’heure est grave. Nous, nos libertés, notre mode de vie, notre civilisation et le Maroc tout entier sommes menacés. La résistance s’organise. Baïonnette au canon, casque vissé sur nos petites têtes brushinguées, nous nous mobilisons pour une ultime bataille... oubliant que la guerre est déjà perdue.
Soufiane Sbiti, vice-président de CAPDEMA, s’exprime en son nom au sujet du troisième anniversaire du mouvement du 20 février et des leçons à en tirer.
Le Maroc n’est pas connu être le meilleur élève dans les classements internationaux, que ce soit pour les droits de l’homme, la corruption, le développement humain,... Et dans un classement sur la qualité de la démocratie publié récemment, le royaume est une nouvelle fois malmené, de quoi remettre en question l’exception tant chantée par les officiels marocains.
Pour «éviter qu’un nouveau Daniel Gate se reproduise», deux associations marocaines viennent de présenter une proposition de loi pour réformer le droit à la grâce royale. Celle-ci vise à remplacer la procédure existante au profit d’une autre dite plus «démocratique».