De la vague du «Printemps arabe» qui avait amené des formations islamistes arabes au «pouvoir», il ne reste que le PJD, encore à la tête d’une coalition gouvernementale. Une réussite qui suscite un intérêt particulier dans la région. Au Forum de Davos, Benkirane a tenté d’expliquer les ingrédients de la recette marocaine.
Le décret ministériel du découpage régional était au menu du conseil de gouvernement de ce jeudi. Un texte qui provoque déjà des grincements de dents chez certains PJDistes. Et pour cause, il propose d’inclure dans le territoire de Tanger-Tétouan, la province d’Al Hoceima. Une concession de Benkirane au PAM. L’adoption de ce décret a été reporté à une date ultérieure.
Le chef du gouvernement est revenu sur le boycott de la marche de Paris contre le terrorisme par Salaheddine Mezouar pour féliciter son ministre. Benkirane a saisi cette opportunité pour insister sur la place de l’islam, le prophète et sa descendance dans l’Histoire de l’Etat marocain.
Le roi Mohammed VI se déplacera-t-il le 18 février aux Etats-Unis en vue de prendre part aux travaux du sommet mondial contre le terrorisme ? En cas d’absence du souverain, le choix d’Abdelilah Benkirane est à écarter à cause de la présence d’Israël. Restera alors l’option Salaheddine Mezouar.
Mohamed Ouzzine n’a pas eu droit à la cérémonie du thé à l’occasion de son départ du gouvernement mais à reçu les éloges de la part de Benkirane sur son «courage».
A une semaine de la célébration du nouvel an amazigh, le secrétaire général du parti de l’Istiqlal décrète ce jour férié. Chabat se démarque ainsi de son grand adversaire, Abdelilah Benkirane.
Si les Premiers ministres ont plus ou moins eu la côte auprès des Marocains, l'un d'entre-eux se démarque tout particulièrement. L'heureux élu, c'est Abdelilah Benkirane actuellement en fonction, selon une enquête l'Economiste-Sunergia fraichement publiée. Le document aborde également le travail de l'actuelle équipe gouvernementale, la popularité des ministres de Benkirane, ainsi que la possibilité pour ce dernier
Abdelilah Benkirane ne souhaite pas que Baha se transforme en mythe. Pour cela, il vient d’initier une campagne de communication afin de montrer que son défunt compagnon avait des défauts comme tout autre humain.