Maâti Monjib, interdit de voyager à l’étranger, poursuit sa grève de faim. Une action néfaste pour sa santé, explique son médecin à Yabiladi.
Il a fallu que l’ONG britannique Reprieve s’interroge sur le sort de Younès Chekkouri pour que le ministère de la Justice brise un silence de trois jours, annonçant que l’ancien détenu de Guantanamo est placé en garde à vue à Casablanca.
En décembre dernier, six soldats marocains de la base de Benguerir, soupçonnés d’entretenir des liens avec l’organisation de l’ «Etat islamique», avaient été interpellés. Aujourd’hui, c’est un jeune gendarme, encore en formation à l’académie de Marrakech, qui a été arrêté pour les mêmes raisons.
A Salé plus de 3 500 familles sont menacées de perdre leurs maisons construites sur des lots de terrain achetés mais sans qu’ils soient enregistrés à la conservation foncière. Le chef d’une petite formation politique a acquis tout le quartier dans des conditions peu transparentes au prix très modique de 14 dirhals le mètre carré alors que sur le marché il vaut 8 000 dh. Des calculs politiques sont,
Les arrestations dans les rangs des partisans de Daesh se poursuivent. Les autorités ont interpellé une dizaine de salafistes à Fnideq, Tétouan et Agadir. C’est la deuxième grande opération de ce genre en l’espace de trois jours sans. Et une nouvelle fois, le ministère de l’Intérieur n’a pas publié le moindre communiqué annonçant la nouvelle. Le contexte des fêtes de fin
En une journée, la police marocaine a multiplié les interpellations de présumés salafistes. L’approche des fêtes de fin d’année n’est pas étrangère à ces opérations.