L’Istiqlal et l’USFP ne souhaitent pas que le gouvernement termine son mandat jusqu’à l’automne 2016. Ils demandent la tenue de législatives anticipées dès 2015. Chabat et Lachgar estiment que c’est le seul moyen pour faire tomber le gouvernement Benkirane.
Le principal bénéficiaire du 1er mai de cette année au Maroc est sans aucun doute Abdelilah Benkirane. La fête du Travail lui a permis d’animer un meeting politique et ce après des semaines de silence. Une occasion de continuer ce qu’il a déjà commencé le mardi 28 avril à la séance des questions orales à la Chambre des représentants et surtout d’adresser des messages à qui de
La polémique sur les biens attribués à Abdelilah Benkirane est relancée. Ilias El Omari, l’homme fort au PAM, a affirmé, avec documents à l’appui, que le chef du gouvernement serait le propriétaire légal d’une imprimerie à Rabat, et ce depuis 1998.
Après la "réalisation" d’une mauvaise réplique de la Tour Effel à Fès, Hamid Chabat tente de récidiver. Cette fois, il est décidé à réaliser sa «plage artificielle» dans la capitale spirituelle du royaume. Un pari de 120 millions dh. Le conseil de la ville a déjà approuvé le rêve de son président. Un appel d’offres est lancé.
Une cour à Marrakech a condamné un sénateur de l'Istiqlal, Abdellatif Abdouh, à cinq ans de prison. Un verdict qui ne devrait guère enchanté Hamid Chabat. Une affaire entourée de plusieurs zones d’ombres, et déterrée après onze années de silence.
Mardi dernier à la Chambre des représentants, le chef du gouvernement martelait que «le PAM est une marque commerciale périmée». Quelques jours plus tard, le voilà qui récidive en comparant Ilyas El Omari, l’homme fort au Tracteur, à un "mafiosi".
Le nouvel an amazigh s’ajoute à la série de sujets de controverse entre le PJD et l’Istiqlal. Un député islamiste demande de sanctionner les agents de la fonction publique qui ont répondu favorablement à l’appel de Chabat considérant que le mardi 13 janvier est jour férié, et qui sont donc restés chez eux.