La reddition des comptes, l'égalité devant la loi, la responsabilité et l'exemplarité d'un élu, sont devenus des enjeux importants dans le Maroc post-2011. Yabiladi a fait le tour des partis politiques pour receuillir leurs points de vue sur la transparence des élus. Seuls le PAM, le PSU, le PPS et le PJD ont répondu à nos questions.
En plein débat sur un nouveau modèle de développement au Maroc, la question de la lutte contre la corruption par des mesures concrètes et efficaces reste un grand absent. Président de l’Association marocaine de protection des biens publics et avocat au barreau de Marrakech, Mohamed El Ghelloussi l’a récemment souligné, dans un appel de l’ONG à lier intimement ces deux questions.
Après être arrivé 55ème dans le classement 2015, le Maroc a dégringolé de 7 places dans l’édition 2016 de l'indice sur la transparence et l'accessibilité des données gouvernementales. Le royaume est dans une mauvaise posture dans la région MENA et sur le continent. Une mauvaise note sur sa copie que le Maroc doit à de faibles scores dans les indicateurs du classement. Le Royaume-Uni et les Etats-Unis sont
L'International Budget Partnership (IBP) vient de passer à la loupe la transparence budgétaire de 102 pays. Le classement qu'il dresse fait passer le Maroc pour un mauvais élève. Détails.
Le Maroc est classé 60ème dans le rapport de l’ONG américaine World Justice Project sur la transparence gouvernementale. Selon le rapport publié jeudi, le royaume est 2ème dans la région MENA et 5ème en Afrique. 40% des Marocains trouvent les informations du gouvernement vagues et incomplètes, 24% ne les reçoivent pas et 28% ont dû payer pour y avoir accès. Détails.
Le baromètre de la transparence des données dans le monde vient de paraître. 55ème sur 86 pays, le Maroc se profile en élève moyen en la matière. Il est en régression par rapport au précédent baromètre. Détails.