En 1981, le roi Hassan II se rend dans la capitale kényane, Nairobi, pour prendre part au sommet de l'OUA et déclarer que le Maroc accepte l’option d’un référendum d’autodétermination au Sahara. Le 12 novembre 1984, l'organisation continentale acceptera la «RASD» comme membre, contraignant le Maroc à claquer la porte et s’opposer à tout rôle africain dans le règlement de ce conflit.
Après les percées réalisées par le Maroc en Europe sur la question du Sahara, le royaume enregistre un succès important en Angola, un pays connu jusque-là pour son soutien traditionnel au Polisario.