Sur la dernière frappe des Forces armées royales contre des «cibles civiles», le Polisario et l’Algérie n’ont pas joué la même partition. Alger a pris ses distances avec la version du mouvement séparatiste, tant aux niveaux du lieu, le timing et la nationalité des «victimes».
Le Front Polisario opère une nouvelle fuite en avant. Il suspend ses relations avec l’Espagne et s’aligne, ainsi, sur la position du parrain algérien.