Malgré les nombreuses lettres du chef du Polisario à l’ONU alertant sur les «violations» du cessez-le-feu par le Maroc, la réalité présentée par Antonio Guterres est aux antipodes.
En ouvrant une enquête judiciaire contre l'association de Aminatou Haidar, le Maroc a probablement offert une caisse de résonnance aux relais du Polisario au Sahara. Une situation qui rappelle 2009, avec l'expulsion de la militante pro-Polisario et l’arrestation du «groupe d’Ali Salem Tamek» pour intelligence avec un Etat ennemi.