Liberté, indépendance financière ou caprices, seraient de possibles raisons expliquant l’engouement des Marocaines riches pour les casinos. Mais les autres femmes aux bourses moyennes jouent également non pas dans ces lieux de fortunés mais dans les bureaux de la Loterie nationale et la Marocaine des jeux et des sports.
Entre la direction de 2M et le PJD, c’est le «moi je t’aime, moi non plus» qui prévaut. L’arrivée des islamistes au gouvernement n’a rien changé à cet état des lieux. Bien au contraire. Elle leur donne, en effet, l’occasion de faire plier la chaîne de Ain Sebaâ et, au passage, régler quelques affaires en suspens. Par le biais du ministre de la Communication, ils comptent frapper les finances de 2M.