Au fil des mois, les mass-média qui avaient montré tellement d’enthousiasme pour les vertus révolutionnaires du Web 2.0 sont passés à autre chose, tandis que cyberoptimistes et cyberpessimistes continuent à échanger des arguments à propos du rôle qu’il faut attribuer ou non aux réseaux sociaux dans les soulèvements arabes. Une façon d’échapper à ces débats, qui ne peuvent