Avec un retard d’une journée, le jeune marocain, J.W.N, l’ami de Ray Cole, a pu bénéficier de la liberté provisoire. Néanmoins, le Marrakchi qui a connu le Britannique sur les réseaux sociaux, risque encore la condamnation en appel.
Le département de Mustapha Ramid compte s’attaquer aux Marocains et Marocaines qui rejoignent les rangs d’organisations terroristes. Une modification du code pénal, en cours d'adoption, accordera aux tribunaux l’assise juridique pour les condamner à une peine allant jusqu'à 15 ans de prison. Les recruteurs et les étrangers jihadistes résidents au royaume sont également dans le viseur. Détails.
C’est désormais chose faite. Le gouvernement Benkirane a donné son feu vert au très controversé projet de loi sur l’accès à l’information. Le texte instaure une série de zones rouges auxquels il est impossible d’accéder. Le projet menace, également, de peines d’emprisonnement tout fonctionnaire qui divulguera des données confidentielles.
Le 14 décembre 2013, l’association «Damir» voit le jour, se présentant comme une enseigne résolument laïque et moderniste. Dans sa dernière sortie médiatique, elle pousse la barre un peu plus haut et réclame, entre autre, l’abrogation de l’article 220 du code pénal.
Les Marocaines seront-elles nombreuses pour réclamer leurs libertés sexuelles, mercredi prochain devant le parlement ? Amnesty a lancé un appel au sit-in. L’ONG demande aux autorités marocaines l’abrogation de plusieurs articles du code pénal qu’elle juge discriminatoires à l’égard de la gent féminine. La réaction de Mustapha Ramid n'a pas tardé, le ministre promet de nouveaux amendements pour
Une semaine après que la cour d’appel de Fès ait acquitté Mohamed Baladi, accusé de s’être converti au christianisme, voilà que la police d’Al Hoceima arrête un ressortissant américain mis en cause dans une affaire de prosélytisme chrétien. Bien que la loi marocaine prévoie des peines d’emprisonnement contre les auteurs de ces actes, dans la pratique ils sont tout simplement expulsés
Le 27 août dernier, les gendarmes d’Aïn Aïcha, une commune rurale, relevant de la province de Taounate, avaient arrêté un Marocain converti au christianisme. En première instance, celui avait été condamné à trente mois de prison. Aujourd’hui, la cour d’appel de Fès l’acquitte. Un verdict qui a mis en sourdine, le temps d'une affaire, l’article 220 du code pénal.