Décidément le droit de vote des étrangers en Espagne a du mal à passer au niveau du gouvernement. Dernier rebondissement, alors que le Premier ministre, José Luis Zapatero s'était déclaré favorable lors du dernier congrès du PSOE (Parti Socialiste Espagnol), voilà que la première vice-présidente du gouvernement, Maria Teresa de la Vega, annonce qu'un ambassadeur serait nommé pour négocier les accords de réciprocité pour cette loi.