L'utilisation des eaux usées traitées dans l'irrigation des terres agricoles et des espaces verts pourrait constituer des risques sanitaires pour la population, selon une nouvelle étude qui s’est penchée sur le cas de la STEP d’Oujda, au moment où le Maroc compte porter à 164 le nombre de ses stations d’épuration des eaux usées à l’horizon 2023.
A Oujda et depuis le mois dernier, un groupe de près de 300 migrants soudanais arrivés de la frontière algérienne vit dans des conditions difficiles, en proie aux arrestations ou aux expulsions répétées. Un premier rapport relaie des témoignages et décrit une situation nécessitant une «intervention urgente».
Les migrants au Maroc font l’objet d’idées reçues et de stéréotypes qui ont encore la peau dure. Centrée sur trois villes du nord du pays, une étude a montré que les jeunes riverains connaissent mal ces communautés.