Après les premières révélations qui ont fait scandale et les sanctions visant un professeur et certains responsables de l'ENCG d'Oujda, d'autres enseignants sont visés par des accusations similaires.
Après les révélations sur des faits de harcèlement sexuel dans plusieurs universités marocaines, des associations féministes sont montées au créneau pour se mettre du côté des plaignantes. Plus qu'une dénonciation sans lendemain, elles appellent au renforcement des peines et à la mise en place d’un système de prévention spécifique.
Des dizaines d’étudiantes et d’étudiants de l’Ecole nationale de commerce et de gestion (ENCG) à Oujda ont manifesté, ce mardi matin, en dénonçant les usages d’un enseignant qu’ils tiennent responsables de harcèlements sexuels répétés.