Depuis près d’une semaine, la polémique enfle concernant la prise en charge des patients atteints de nouveau coronavirus, au sein des cliniques privées. Des témoignages indiquent que ces structures payantes font facturer de 60 000 à 120 000 DH. Ce lundi, le président de l’Association nationales des cliniques privées (ANCP) a répondu qu’il ne pouvait «régler toute la misère du pays».
Depuis quelques jours, la rumeur sur les réseaux sociaux et sur certains médias circule autour de cas de décès faussement déclarés comme étant liés au nouveau coronavirus. Cette version serait partie de l’idée que les structures traitant des patients covid+ toucheraient des primes pour chaque mort.
Tanger est la ville où les cliniques ont été les moins nombreuses à décrocher le téléphone. Casablanca et Fès en revanche ont été celles où les cliniques ont été les plus nombreuses à répondre favorablement à notre demande.
C’est la dernière ligne droite avant l’ouverture du capital des cliniques privées aux non-professionnels de la santé. Les députés du PPS et du PJD ont fait sauter, au grand dam de certains syndicats, le principal obstacle à ce projet.
Le ministre de la Santé serait-il menacé de mort ? Lui, il l’affirme haut et fort. Il a même déposé une plainte contre X. Les commanditaires, seraient selon El Ouardi, les lobbys qui «bénéficient d’avantages estimés à des milliards de dh».
Trois cliniques qui procédaient à des malversations en toute tranquillité viennent d'être démasquées par les services de la Caisse nationale des organismes de prévoyance sociale [CNOPS], qui, en plus des sanctions émises, a décidé de les attaquer en justice.
Un petit nez aquilin ? Des lèvres pulpeuses ? Une poitrine plus grosse ou plus ferme ? C’est la promesse de la chirurgie des temps modernes. Un complexe devient un mauvais souvenir en une matinée… Si certaines ne font que fantasmer sur ces coupures de magazines et images de clips, les autres feront appel au bistouri. Comment, pourquoi et surtout pour combien ?