Des documents sauvés in extremis révèlent l'espionnage mis en place par les Mossos d'Esquadra en Catalogne. Les ramifications s'étendraient même jusqu'au Maroc.
Mais qui donc a fait entrer la violence à l’école ? Les jeunes élèves encanaillés ? A moins que cette violence ait toujours existé en son sein ? Essayons de tirer le fil de nos rapports sociaux de plus en plus compliqués.
On compte aujourd’hui deux phases de l’opération de régularisation ; celle de 2014 et l’actuelle phase qui s’étendra tout au long de l’année 2017. En plus de ces opérations, le Maroc a mis en place un dispositif institutionnel inédit. Retour sur les défis de cette politique migratoire et ses évolutions.
Il y a un an, les chiffres annoncés par l’Energy Trilemma Index, publiés chaque année par le Conseil mondial de l’énergie, faisaient état d’un bond de 11 places du Maroc par rapport à l’édition 2014. Cette année, après l’actualisation de la méthode et de l’indice, le royaume aurait stagné entre 2014 et 2015 à la 78e position, perdant même deux places cette année.
Le Maroc célèbre ce lundi 10 août la Journée nationale des MRE et c’est encore l’occasion pour les Marocains du monde de faire entendre leur voix sur les récents événements qui ont marqué leur actualité au Maroc ces derniers jours, notamment depuis le discours du Trône. Yabiladi a donné la parole à Salem Fkire, président de l’association Cap Sud MRE, une organisation très active au
Invité sur al plateau de France 3 dimanche 26 avril, le maire UMP de Nice de Nice a tenu des propos virulents, évoquant les «cinquièmes colonnes» islamistes qui serait en guerre contre la France. Ses propos ont très vite suscité les critiques des politiques de tout bord, y compris dans les rangs de Nicolas Sarkozy.
En France, «l'islamophobie fait au moins une victime chaque jour» selon le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) qui vient de publier son rapport annuel. D'ailleurs les résultats parlent d'eux même. Une hausse de 57,4% des actes islamophobes a été constatée en 2012. Et selon le Collectif, ces chiffres restent loin de la réalité. Médias et politiques seraient les principaux vecteurs de l'islamophobie.