Sana Hassainia, député québécoise du NPD, a claqué la porte de son parti suite à l'élection de Thomas Mulcair à la présidence. Par ailleur, l'élue reproche à son parti d'avoir une position partisane au sujet du conflit israélo-palestinien, qu'elle qualifie d'ignoble.
Mountassir Hamada, auteur de «De la critique du réseau d’Al Quaïda», aux éditions du centre de Recherches et d’Etudes d’Al Jazeera, en 2010 et de «Salafia al-Wahabiya au Maroc», en janvier 2012 aux éditions Toubkal, explique que le salafisme au Maghreb en général, avec les révolutions arabes, et au Maroc en particulier, tend à renoncer au jihad.
L’équipe Benkirane vient de dépasser le cap des 100 jours. Une période durant laquelle, l’exécutif a réussi la prouesse de constituer la principale actualité que s’arrachent les médias.
L’association des marocains dans les pays germanophones, dont le siège est dans la ville de Feldkirch/Vorarlberg, est scandalisée par l’affiche du parti autrichien de la liberté (FPÖ) de la ville d’Innsbruck, portant le slogan: «Heimatliebe statt Marokkaner-Diebe = L’amour de la patrie au lieu des voleurs marocains».
Le Printemps arabe a fait place à la montée du discours islamiste. Le Maroc n'échappe à la règle. Un nouveau parti salafiste, mené par Mohamed El Fizazi, est dans les starting-blocks.
Plus d’un mois après avoir été au cœur des débats du Parlement britannique, l’affaire Ali Aarass atterrit, cette fois-ci au Parlement belge. 16 parlementaires issus de différentes formations politiques ont demandé au ministre des Affaires étrangères de faire pression sur le Maroc pour libérer Ali Aarrass. Parmi eux, 5 sont d’origine marocaine.
Les banlieues françaises comptent aujourd’hui 8 millions d'habitants, soit 12% de la population de l’hexagone. Des chiffres importants qui peuvent changer la donne d’une élection présidentielle… si seulement une partie de ces habitants se rendaient aux urnes pour voter. Car ni la gauche, ni la droite, n’ont réussi à répondre aux attentes des habitants de la banlieue.