Dans cette série, Yabiladi revient sur une période délicate de l’histoire du royaume où plusieurs parties du Maroc, sous les Saadiens, étaient contrôlées par des entités différentes. Dans ce dernier volet, l’histoire de la République de Salé.
Dans les années 1700, l’homme d’État américain Thomas Jefferson a acheté un exemplaire du Coran. Des documents historiques suggèrent que le troisième président des États-Unis avait acheté ce livre sacré alors qu’il était encore étudiant en droit. Seulement, d’autres affirment qu'il l'avait étudié pour «mieux comprendre ses ennemis musulmans en Afrique du Nord».
En 1627, la république de Salé nouvellement créée dépêcha deux ambassadeurs à Londres pour la négociation d’un traité. En effet, l’Angleterre prévoyait de transformer la cité de la république corsaire en une grande base militaire, dans l’idée de mener une action commune contre l’Espagne.
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, les pirates de Salé étaient si célèbres auprès des Européens que leurs activités inspirèrent nombre d’écrivains et de journalistes. Le roman d’aventure «Robinson Crusoé» fait partie des livres ayant décrit certaines certaines atrocités subies par les esclaves chrétiens au Maroc.
Entre 1801 et 1805, les États-Unis ont mené une guerre contre les corsaires nord-africains. Les pirates du Maroc, de l’Algérie, de Tunis et de Tripoli contrôlaient toute la méditerranée, ce qui déplaisait à l’oncle Sam, qui avait tenté d’y mettre fin.
Nouvelle attaque contre les journalistes indépendants au Maroc. Ce n’est pas Reporter Sans Frontières qui le dit mais une société de sécurité informatique basée au Maroc. Cette dernière vient de mettre au jour une tentative d’attaque sur les ordinateurs de plusieurs journalistes indépendants au Maroc. DefensiveLab, société dont Anas El Filali est le principal actionnaire, regroupe une équipe de