Démissions de Karim Tazi, sanctions à l’encontre de Mohamed Hafid, crise au sein du PSU,… Plusieurs médias ont suivi de près l’impact du fameux moratoire pour Centrale Danone signé par plusieurs personnalités. Yabiladi tente de distinguer le vrai du faux...
La nouvelle scène artistique marocaine apporte son soutien à la fondation culturelle Touria et Abdelaziz Tazi après l’annulation, la semaine dernière, du concert d’El 7aqed à l’Uzine. L’association EAC-L’Boulvart, Hoba Hoba spirit ou encore Mobydick ont mis les points sur les «i» quant à l’apport de cet espace dans le développement des artistes marocains.
Abdelilah Benkirane élargit la liste de ses ennemis politiques. Il vient d’y incorporer l’homme d’affaire Karim Tazi marquant ainsi la fin de la lune miel entre les deux hommes. Une actualisation qui s’ajoute aux traditionnels médias publics et le PAM. Les premiers sont «les complices de parties connues» et pour le parti au tracteur, le PJDiste l'a appelé à «s’auto-dissoudre».
Une vive polémique autour de l’Association marocaine des droits de l’Homme alimente actuellement la toile marocaine et plus particulièrement les réseaux sociaux. A l’origine, un des «statuts facebook» de Karim Tazi, un homme d’affaire marocain reconnu pour son franc-parler, mais aussi pour ses diverses activités dans le milieu social. Par le biais de son profil Facebook, il critique la position de l’ONG marocaine par rapport
Moncef Belkhayat a fait du tic au tac vendredi dernier. Le ministre de la Jeunesse et des Sports a très vite réagi pour démentir les informations affirmant que son véhicule de fonction couterait à l’Etat la rondelette somme de 3 200 000 Dh. Le ministre a tant bien que mal tenté d’apporter des arguments qui sont tout sauf convaincants. Décryptage.