Le lundi 2 mars, sur le JT du midi de 2M, la ministre de la Solidarité et de la Famille paraissait très confiante concernant l’adoption de la loi sur la parité. Jeudi, le gouvernement n’a même pas inscrit le texte sur l’agenda de sa réunion hebdomadaire. Un renvoi qui n’est pas sans rappeler le sort réservé au projet de loi sur la violence contre les femmes datant de novembre 2013.
Les associations féministes vont une nouvelle fois organiser une marche pour dénoncer les propos de Benkirane. Hamid Chabat et Driss Lachgar ont déjà béni la protestation. De son côté, le gouvernement compte riposter par l’adoption d’un projet de loi sur la création de l’instance pour la parité.
Il est reconnu que la représentation de la femme dans les instances de décision est faible au Maroc. Pour y remédier, l’Etat compte mettre en place une instance nationale pour la parité, en appliquant l’un des articles de la dernière Constitution de 2011.
Ouf ! Quelle frayeur ! J’avais presque oublié de fêter comme il se doit la journée nationale de la femme ! Cet oubli n’a évidemment rien à voir avec l’importance de cette journée que chaque Marocaine est dans l’obligation de fêter car qui d’autre, comme elle, bénéficie d’un honneur biannuel ? Les femmes de la majeure partie de la planète se
Bassima Hakkaoui lance le prix Tamayouz et espère ainsi mettre en valeur la femme marocaine, qui pourtant est toujours dévalorisée à en croire les chiffres du HCP.