Le crédit aux entreprises est en baisse, alors même que les banques ont des liquidités en abondance. L’augmentation du risque d’impayés avec la crise immobilière et l’augmentation des défaillances d’entreprises expliquent en partie cette situation paradoxale.
Les banques marocaines qui ont anticipé la saturation du secteur bancaire, affichent des bilans positifs. Au contraire, leurs consœurs filiales de banques étrangères ont du mal à se refaire une santé financière.