La ville de New-York, la police de la ville et les associations civiques sont parvenues à un accord symbolique pour mettre en place des mesures de lutte contre la stigmatisation de la communauté musulmane dans les enquêtes antiterroristes policières. Un accord qui va sans doute apaiser les accusations de surveillance abusive de la communauté musulmane par la police new-yorkaise. Détails.
Deux ans après le dépôt de leur plainte pour surveillance des musulmans, c’est à l’amiable que des mosquées et leaders communautaires ont trouvé un compromis avec les autorités de New York. Détails.
La police new yorkaise souhaite avoir plus de musulmans dans ses rangs. Actuellement, il y a environ 800 musulmans sur les 35 000 policiers de la ville et seuls 20 parmi eux seraient des officiers supérieurs.
En avril dernier, la police de New York annonçait le démantèlement de son unité spéciale chargée de surveiller la communauté musulmane locale, au lendemain du 11 septembre 2001. L’objectif était alors de prévenir tout acte terroriste. Aujourd’hui, celle-ci est accusée d’avoir menti à ce sujet. Son programme d’espionnage serait toujours en place. Explications.
La police new-yorkaise est à nouveau pointée du doigt pour ses pratiques très peu éthiques vis-à-vis des musulmans. Après le scandale lié à son unité de surveillance des musulmans, aujourd’hui démantelée, voila qu’on apprend que cette même police a recruté plusieurs informateurs musulmans depuis le 11 septembre 2001. Le New York Times a rencontré quelques uns de ces derniers.
A New York, une unité de police qui était chargée depuis plusieurs années de surveiller les musulmans vient d’être démantelée. Celle-ci avait été secrètement mise en place après les événements du 11 septembre. Mais depuis l’arrivée d’une nouvelle équipe municipale en janvier dernier, elle n’était plus active. Explications.
Dans sa traque éperdue d'un attentat terroriste fomenté par un musulman jihadiste, la police new yorkaise est allée jusqu'à demander à ses informateurs de suciter des discours violents parmi des fidèles musulmans. Un ancien informateur a raconté son histoire à Associated Press.