La Cour des comptes a publié, cette semaine, son rapport annuel au titre de l’année 2021, qui réserve une partie au secteur de la Santé. Elle y pointe des «disparités territoriales et déséquilibres au niveau de la couverture de la population» pour les ressources humaines du ministère de la Santé et plaide pour une politique nationale pharmaceutique basée sur la stimulation de la production locale.
Mohamed El Ghalloussi, le président de l’Instance Nationale pour la Protection des Biens Publics au Maroc, ne mâche pas ses mots. Malgré les nombreux rapports de la Cour des comptes, l'action de cette dernière reste limitée : la corruption ne faiblit pas au Maroc.
Dans son rapport annuel au titre des années 2019 et 2020, publié cette semaine, la Cour des comptes a pointé un «déséquilibre structurel interbassins au niveau des apports hydriques annuels», recommandant notamment de «réaliser les projets matures de connexions interbassins».
Ressources humaines insuffisantes, bâtiments inadaptés et délais de délivrance de documents plus longs qu’au Maroc… la Cour des comptes a recommandé, dans son rapport pour les années 2019 et 2020 publié cette semaine, d’«élaborer une stratégie consulaire, intégrée et cohérente».