L'épouse du chef de gouvernement marocain, Nabila Benkirane, sort de son silence et répond aux critiques sur sa tenue qui a déclenché une polémique, il y a quelques jours, sur les réseaux sociaux. Détails.
Des femmes en djellabas dans les rues de la capitale marocaine, Rabat. Il ne s’agit pas de la projection d’un documentaire sur le Maroc des années 50 ou 60 mais d’un appel aux femmes de manifester contre le Mouvement FEMEN vêtues de cet habit traditionnel. Une initiative qui s'inscrit dans le sillage des récentes protestations des Tunisiennes en «Sefsari» et des Algériennes en «Haik».
Les habitudes vestimentaires changent lors de ce mois béni. Les tenues habituelles sont rangées aux placards tandis que les tenues traditionnelles sont à l’honneur. La grande majorité des ladies enfile de longues tenues tels que les djellabas ou encore les abayas dans la journée mais également la nuit tombée lors des prières surérogatoires. Les babouches ou sarouels sont aussi très prisés. Globalement, la mode
Essentiellement porté pendant les fêtes, l’habit traditionnel marocain tombe peu à peu en désuétude. La religion, mais aussi la famille royale permettent aux gandouras et djellabas de résister à l’oubli.