Le Mouvement du 20 février et le contexte actuel dans le monde arabe ont chamboulé, ou plutôt accéléré le calendrier des réformes au Maroc. Le politologue Mohammed Darif, analyse ces changements constitutionnels.
Les partis politiques marocains se sont fait discrets depuis les manifestations en Tunisie et en Egypte, sauf le PJD qui a fait quelques sorties. Mais la charge la plus violente vient aujourd’hui d’un parti interdit, Al Adl Wal Ihssane (Justice et Bienfaisance).