Depuis le 24 février, les fonctionnaires des institutions de la Sécurité sociale sont autorisés à contrôler les séjours des chibanis à l’étranger pour procéder au versement - ou non - de leur protection sociale. Détails.
La proposition de loi vise à rétablir au profit des retraités maghrébins les mêmes dispositions que celles dont jouissent leurs concitoyens français installés à l'étranger. Détails.
Le colloque sur les MRE et la régionalisation avancée organisé par le CCME et la Chambre des conseillers s’est ouvert aujourd’hui à Rabat sur fond de colère de plusieurs organisations MRE. Le porte-parole de la délégation venu plaider au Maroc, en juin dernier, pour la participation politique des Marocains du monde aux prochaines législatives dénonce «le détournement» d’un débat autour des
Le décret paru début octobre au Journal Officiel accordant une aide financière aux chibanis désireux de rester plus longtemps dans leur pays d’origine laisse un goût amer aux MRE et enfants des retraités dont un grand nombre d’origine marocaine. Bien qu’ils aient apprécié la volonté de Paris de se pencher sur ces cas, ils dénoncent «une mesurette» qui ne résout pas le vrai problème
Le Maroc célèbre ce lundi 10 août la Journée nationale des MRE et c’est encore l’occasion pour les Marocains du monde de faire entendre leur voix sur les récents événements qui ont marqué leur actualité au Maroc ces derniers jours, notamment depuis le discours du Trône. Yabiladi a donné la parole à Salem Fkire, président de l’association Cap Sud MRE, une organisation très active au
Alors que les départementales ont à peine commencé, une élue franco-marocaine est la cible d’un journal de gauche. Attaquée sur son parcours politique, son action associative et son origine, elle dénonce l’usage de «stratégies xénophobes du FN» à des fins électoralistes. Détails.
Du nouveau dans l'affaire d'injustice envers les chibanis en France qui se sont vus privés de leurs droits à certaines prestations sociales. Une avocate franco-marocaine, membre de Cap Sud MRE, a découvert qu’en vertu des textes juridiques, les chibanis n'étaient pas hors-la-loi quand ils passent de longs séjours au Maroc, tout en continuant de percevoir certaines prestations sociales (ASPA).