Amel et Nadia Ezzine sont les fondatrices et stylistes de leur maison de couture à Tou- louse, «Caftan Original». Leurs créations : des caftans à la croisée des chemins marocains et français. Si elles vivent et ont leur boutique en France, elles conservent dans leur cœur la ville de Fès où elles font réaliser leurs créations. Portrait tissé.
Historienne des migrations marocaines aux Pays-Bas, Nadia Bouras, suis actuellement un doctorat en Genre et migrations à l’Université de Leiden. Nadia Bouras a été approchée par Yabiladi.com, à l’occasion de sa participation au 16e SIEL. Elle nous donne des détails sur ses recherches. Elle s’exprime sur les immigrés marocains vivant aux Pays-Bas et donne son avis sur l’intégration de la nouvelle génération, aussi bien au Maroc que dans le pays d’accueil.
La deuxième édition de la rencontre des « Marocaines d’ici et d’ailleurs » a réuni en deux jours, 400 femmes marocaines du Maroc et de plus de 20 pays d’immigration. Comme Nadia Otmani, présidente de l’Association Al Amal basée à Madrid, plus d’une centaine de délégués d’associations étaient également présents. Pour sa première participation à la « Marocaines d’ici et d’ailleurs », elle nous a parlé de son association et de l’immigration des Marocaines en
Décidément pas de répit pour la presse marocaine. Elle refait encore parler d'elle. Et cette fois-ci, il s'agit de la presse féminine qui est sous les projecteurs. Le magazine Femmes du Maroc publie ce mois-ci un numéro dont on n'oubliera pas de sitôt. Ce n'est pas l'enquête sur la manière d'accoucher au Maroc qui nous interpelle mais tout simplement la une, une photographie de Nadia Larguet qui y pose presque nue. Enceinte, elle pose la main gauche sur son sein droit et sa main droite
Les chambres d'hôtes connaissent un essor important en France. A Lille, à l’image de celle créée par Nadia, une Canadienne d’origine marocaine, elles se font une place dans le paysage hôtelier. A Fives, un quartier populaire à l'est de Lille, le quotidien La Voix du Nord (LVN) a rendu visite à ce qu’il appelle « une oasis marocaine ».