Le cadre législatif pour la légalisation de la culture des cannabis est fin prêt. Le ministère de l’Intérieur, auteur d’un projet de loi en ce sens, entend créer une Agence, placée sous «la tutelle de l’Etat».
Le gouvernement n’a pas de vision pour aborder la culture et la production du kif dans plusieurs provinces du royaume, selon le président du groupe de l’Istiqlal à la Chambre des représentants. Noureddine Modiane estime aussi que l’exécutif «doit oser ouvrir le débat» pour l’intérêt du pays et «loin de toute récupération politique».
Alors qu’une trentaine de pays à travers le monde dépénalisent et financent l’usage thérapeutique du cannabis, le producteur numéro un mondial nage toujours à contresens. Au Maroc, la production, la possession et la consommation de cannabis et de produits qui en dérivent sont interdites. Un cadre légal ayant causé une succession d’échecs selon Reda Mhasni, psychologue clinicien et
Okey, je ne suis pas Orelsan, mais pour tenter d’expliquer ce sujet compliqué, je vais faire un édito simple. Basique !
Quelques jours après la remontrance du roi Mohammed VI devant le Parlement sur la lenteur des procédures administratives, il est temps de penser aux projets qui vont dans ce sens. Avec e-Mo9ata3a et un système de bornes biométriques au niveau des circonscriptions, «La Marocaine des e-service» veut «démocratiser l’accès à distance», selon son patron Tarik Fadli, mais surtout profiter d’une
Le Maroc a adhéré à la Convention «Apostille» relative à la suppression de l’exigence de la légalisation des actes publics étrangers, entrée en vigueur au royaume et dans les pays signataires dimanche 14 août.