Suède, Norvège, Islande, autant de pays scandinaves (au sens large) où le Polisario a su tisser des réseaux de soutien tant au niveau des gouvernements, des partis politiques que parmi les sociétés civiles. Le mouvement séparatiste tire les dividendes d’années d’offensives diplomatiques prenant une longueur d'avance sur le Maroc.