Devant les participants au séminaire régional du Comité spécial de la décolonisation, le Front Polisario a tenté de surmonter son amertume quant à la résolution 2468 du Conseil de sécurité en insistant sur les termes «indépendance» et «droit inaliénable à autodétermination». Pour le contrer le Maroc a dépêché les vice-présidents des régions
Dans un document détaillé qui a été déclassifié par les États-Unis, l’ambassadeur du Maroc Aziz Mekouar rappelait l’implication américaine dans le dossier du Sahara occidental. Ce sont les Etats-Unis qui auraient souhaité abandonner l’option du référendum, suggérant par la suite au Maroc de proposer une autonomie élargie au territoire, en réponse à la proposition de James
Deux jours après le référendum d’indépendance de la Catalogne, Felipe VI vient d'accuser la Généralitat de «violer la constitution» de son pays et de «diviser les Espagnols». Du côté du Maroc, le discours du roi ne peut qu’être salué par les officiels. Et pour cause, le monarque, autrefois grand défenseur du droit à l’autodétermination du «peuple
Le déploiement de milliers d'éléments de la Guardia Civil n’a pu empêcher les Catalans d'aller aux urnes mises à leur disposition par la Generalitat. Dans la région maghrébine, le référendum de la Catalogne est presque passé inaperçu. A l’exception du royaume qui s’est solidarisé avec l’Espagne, l’Algérie et le Polisario observent un silence gêné.
Le referendum d’indépendance du 1er octobre interpelle le Maroc. Et pour cause des centaines de milliers de Marocains résident dans la région. Comment les MRE de Catalogne appréhendent-ils cette échéance ? Sont-ils en faveur de la séparation entre Barcelone et Madrid ? Deux questions parmi d'autres que Yabiladi a posées à Mohamed Chaïb, acteur associatif et politique, membre du Parti socialiste ouvrier espagnol.
Sans surprise, le Maroc appuie la position du gouvernement Rajoy hostile au referendum en Catalogne. Une annonce faite par le ministre Mustapha El Khalfi. Madrid sera-t-elle apprécié cette main tendue à sa juste mesure ?
Mohamed Ould Abdel Aziz a désormais la constitution qu’il souhaite. Ni le rejet du Sénat ni le refus de l'opposition ne l’ont dissuadé de mener à terme son projet de révision de la loi fondamentale. Le président peut entamer avec optimiste la seconde phase de son maintien au pouvoir, aussi longtemps que possible.